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08.12.2020

I-care est l’Entreprise de l’Année 2020

C’est la société I-care qui succède à EASI au titre convoité de 'L’Entreprise de L’Année', dont la 25e édition avait lieu ce 7 décembre. Proxyclick décroche quant à elle le prix de la 'Scale-up de l’Année'.

C’est finalement I-care, une société basée à Mons et spécialisée dans l’intelligence artificielle pour l’industrie, qui a été élue Entreprise de l’Année et a reçu le trophée envié des mains du Premier ministre Alexander De Croo. Quant à Proxyclick, elle a reçu le titre de Scale-up de l’Année de la part de David Clarinval, ministre des Indépendants et des PME.

'L’Entreprise de l’Année', organisé par EY en partenariat avec L’Echo et notre banque, fêtait cette année sa 25e édition. Et même si la cérémonie se tenait à distance, la récompense obtenue n’en reste pas moins prestigieuse.

I-care, le fleuron belge des services technologiques

I-care est une société pionnière dans le domaine de l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive industrielle. Créée il y a 16 ans, elle compte aujourd’hui plus de 450 employés – la moitié en Belgique, l’autre répartie dans plus de 10 pays, comme les Etats-Unis, l’Australie ou la Corée du Sud. L’entreprise propose l’une des meilleures plateformes de gestion de l’état de santé des machines industrielles dans le monde.

Grâce aux solutions d’I-care, les équipements industriels sont plus sûrs, plus productifs, plus rentables et moins polluants. Forte de son expertise, de sa technologie et de sa stratégie de croissance, I-care espère devenir leader mondial de la maintenance prédictive d’ici 2025 et atteindre les 100 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Le Président du jury a été particulièrement conquis par l’innovation dont fait preuve l’entreprise.

"I-care a déposé pas moins de 10 brevets depuis mars malgré l'épidémie de Covid" a déclaré Laurent Levaux. "L’entreprise enthousiasme aussi par une croissance impressionnante de 35% par an, chaque année depuis 15 ans, en Belgique et surtout dans le monde."

Proxyclick, l’étoile montante de l’entrepreneuriat belge

Élue Scale-up de l’Année, Proxyclick offre des solutions permettant aux sites de bureaux et de production de répondre à leurs impératifs de sécurité et de protection des données lors de l’accueil de leurs visiteurs.

Proxyclick compte désormais des clients dans plus de 100 pays à travers le monde, dont L’Oréal, Airbnb, UCB et Sodexo. Constamment à la recherche de nouveaux collaborateurs, l’entreprise veut renforcer sa présence en Amérique du Nord, qui représente déjà 40 % de son chiffre d’affaires. L’objectif de Proxyclick est à présent de dépasser le milliard d’enregistrements avant 2025.

"Son offre de services positionne mondialement Proxyclick au cœur d’un écosystème qui englobe le contrôle d’accès, la gestion des salles de réunions, des accès wifi, jusqu’au traitement automatisé des documents liés aux visiteurs", a déclaré le Baron Pierre Rion, Président du jury. " La gestion complètement intégrée de ces flux lui a permis de s’imposer comme l’incontournable partenaire d’acteurs mondiaux."

Notre banque aux côté des entrepreneurs

Didier Beauvois, Head of Corporate Banking, a réagi à l’annonce des gagnants.

“Cette année, les entreprises ont été confrontées à des défis de taille”, a-t-il déclaré. “Elles ont dû faire preuve de créativité et de flexibilité pour y répondre. I-care y est parvenue en commercialisant son thermomètre 4.0 et en accélérant sa transition digitale. Quant à Proxyclick, elle a développé une nouvelle technologie d’enregistrement en pleine crise sanitaire. Chaque lauréat a montré sa résilience dans ces moments compliqués et affiche un beau parcours. Chacun d’entre eux contribue à un climat entrepreneurial positif en Belgique. Je tiens une fois de plus à féliciter toutes les entreprises finalistes, et j’ai hâte de continuer à accompagner ces entrepreneurs qui font avancer l’économie belge.”

Du côté néerlandophone du pays, le prix 'Onderneming van het Jaar' comme celui de 'Scale-Up van het Jaar' seront remis ce 8 décembre.

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24.11.2020

Aux premières loges pour découvrir 'L’Entreprise de l’Année'

En 2020, l’Entreprise de l’Année fête ses 25 ans. Le 7 décembre, le grand gagnant de cette prestigieuse récompense sera annoncé lors d’une cérémonie qui se tiendra en ligne, et à laquelle chacun est invité.

Voilà déjà 25 ans qu’EY organise l’événement 'L’Entreprise de l’Année' en collaboration avec L’Echo et notre banque. Étant donné les circonstances, ce rendez-vous aura lieu à distance cette année. La bonne nouvelle, c’est qu’un plus grand nombre de personnes pourra assister à la remise des prix et découvrir, en direct, lequel des cinq nominés remportera la prestigieuse récompense. Le titre de la 'Scale-up de l’Année' sera également remis le même jour. Inscrivez-vous dès maintenant pour ne pas manquer cet événement exceptionnel.

“Cette année, les entreprises ont été confrontées à des défis de taille”, déclare Didier Beauvois, Head of Corporate Banking et membre du comité de direction de BNP Paribas Fortis. “Elles ont dû faire preuve de créativité et d’agilité pour y répondre, tout en continuant leur transformation vers un business model plus durable. Nous sommes donc d’autant plus fiers de récompenser les efforts de nos finalistes et leur contribution à la santé de notre économie.”

La crème de la crème

Les entreprises prétendant au titre de ‘L’Entreprise de l’Année’ sont sélectionnées sur base de critères bien précis. En plus de la croissance et des résultats financiers, sont également pris en compte la volonté d’entreprendre, l’ouverture sur le monde, le degré d’innovation et la gouvernance d’entreprise.

Qui sera l’'Entreprise de l’Année'?

  • Dubuisson, la plus ancienne brasserie de Wallonie, réputée pour ses bières Bush ou Cuvée des Trolls;
  • Efficy, éditeur de logiciels de gestion de la relation client;
  • I-care, pionnière dans l’intelligence artificielle appliquée à la maintenance prédictive industrielle;
  • Technord, groupe familial spécialisé dans l’intégration de solutions liées à l’électricité industrielle, l’automatisation et l’informatique industrielle;
  • TRBA, active dans le secteur de la construction et dans les travaux d’infrastructures (auto)routière et (aéro)portuaire.

Des scale-up prometteuses

Les prétendants au titre de 'Scale-up de l’Année' sont des entreprises ambitieuses en pleine croissance et qui ont déjà un beau parcours derrière elles. Cette récompense vise à les encourager à continuer à investir , innover et s’étendre à l’international.

Qui sera la ‘Scale-up de l’Année’?

  • BePark, acteur digital visant à générer de la valeur sur des parkings hors voirie, souvent sous-exploités;
  • EyeD Pharma, société de recherche et développement pharmaceutique spécialiste des micro-implants;
  • La Niche, agence digitale orientée stratégie et marketing;
  • Proxyclick, qui offre aux sites de bureaux et de production des solutions répondant à leurs impératifs de sécurité et de protection des données lors de l’accueil de leurs visiteurs;
  • Sortlist, une plateforme orientant les responsables marketing vers les agences les plus pertinentes pour répondre à leurs problématiques créatives et digitales.

Envie d’en savoir plus les dix finalistes? Rendez-vous sur cette page.

Vous aussi, vous pouvez participer cette année. Il vous suffit de vous inscrire et de vous connecter le 7 décembre entre 17h30 et 18h30 pour suivre la cérémonie en direct sur votre ordinateur, smartphone ou tablette, ou sur Twitter via le hashtag #EDLA20.

Côté néerlandophone, ce sont les entreprises Abriso-Jiffy, Konings, Stow et Van Marcke qui concourront pour les prix de 'Onderneming van het Jaar', tandis que FibriCheck, Robovision, THEO Technologies et Unifly visent la récompense 'Scale-up van het Jaar'. L’événement aura lieu le 8 décembre. Retrouvez toutes les infos sur cette page.

Avec la scale-up bruxelloise Optimy, le bénévolat, les dons, le mécénat ou encore le sponsoring des entreprises sont sur une seule et même plateforme pour mesurer leur apport social concret.

« Au départ, je ne me considérais pas comme un entrepreneur social, même si je m’occupais de sponsoring. À la demande de nos clients, mes partenaires et moi-même avons développé un service qui est ensuite devenu la plateforme la plus complète du marché », explique Kenneth Bérard, CEO d’Optimy.

L’un de ces clients était la BNP Paribas Fortis Foundation, qui voulait accroître son apport sociétale et souhaitait donner plus de visibilité à ses actions. « Pour les entreprises, il est indispensable d’apporter quelque chose à la société. Cela génère une plus-value pour l’entreprise et crée une spirale positive. Mais ces apports sociétaux doivent être mesurables. Combien d’enfants ont été aidés ? Combien d’arbres ont été plantés ? Quel effet cela a-t-il sur la satisfaction des collaborateurs, sur l’image, sur le chiffre d’affaires ? Notre modèle permet de répondre à ces questions. Les entreprises ne doivent donc pas sans cesse acheter de nouveaux modules lorsqu’elles souhaitent ajouter de nouvelles activités. C’est selon moi l’un des éléments qui font notre succès. Nous sommes le leader européen de notre secteur et la seule entreprise à la fois active en Europe et en Amérique du Nord. »

Un accompagnement personnalisé

« De nombreuses entreprises sont pleines de bonnes intentions. Elles veulent avoir un apport positif sur la société, mais il leur manque souvent une bonne méthode pour travailler efficacement », souligne l’entrepreneur. « Elles ont tendance à considérer tous leurs efforts séparément les uns des autres. La plateforme Optimy résout ce problème. Elle est facile à configurer et orientée services. Nous nous adaptons aux processus de chaque business unit et de chaque entreprise. Et l’inverse ne fonctionne pas », assure Kenneth Bérard. « Nos clients ne veulent pas que de la technologie, mais bien un accompagnement. Nous investissons dans la personnalisation et cela porte ses fruits, comme le montre aussi une enquête de satisfaction réalisée auprès de nos clients. »

Structurer les actions

Le premier conseil qu’Optimy donne toujours aux entreprises : ne fragmentez pas vos efforts, ils doivent former un tout. « Nous conseillons aux entreprises de structurer leurs actions à l’aide de notre outil. La politique de responsabilité sociale des entreprises doit être conforme aux valeurs, à l’ADN et à la stratégie de l’entreprise au sens large. Et les actions doivent bien entendu être transparentes et bien exécutées. »

Le bon partenaire

Le lien qui unit depuis le début Optimy et BNP Paribas Fortis a été déterminant pour la croissance de l’entreprise. « Le fait que la banque nous suive a renforcé notre crédibilité auprès de nos partenaires, investisseurs, clients et en interne. Aujourd’hui, elle met en place pour nous un service de factoring, pour continuer à soutenir notre croissance. »

La croissance d’Optimy s’appuyait au départ sur le cash-flow, ce qui est inhabituel pour une entreprise technologique. Il n’a été question de financement qu’à partir de 2019, lorsqu’un fonds canadien spécialisé dans les entreprises SaaS (Software as a Service) et lié au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) est entré dans son capital.

Enrichissement multiculturel

Comme pour de plus en plus d’entreprises, l’un des plus grands défis pour Optimy est le recrutement de nouveaux talents. « Nous avons pu transformer ce défi en un atout », conclut Kenneth Bérard. « Nous attirons des talents de l’étranger. Nous employons soixante personnes de vingt nationalités différentes dans nos bureaux de Bruxelles. Cette multiculturalité est extrêmement enrichissante et nous a aidés à nous développer à l’international. »

« La politique de responsabilité sociale des entreprises doit être conforme aux valeurs, à l’ADN et à la stratégie de l’entreprise au sens large. »

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11.03.2024

« Nous sommes prêts à accélérer la transition des entreprises, y compris celle des PME »

Une bonne performance ESG (Environnement, Social, Gouvernance) devient un facteur de compétitivité. Les PME aussi en sont de plus en plus conscientes. . Une bonne chose, selon Didier Beauvois, Head of Corporate Banking.

Comment expliquez-vous cette accélération de la prise de conscience des PME ?

Avec la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), les sociétés cotées et les sociétés de plus de 250 personnes sont soumises depuis 2022 à des obligations de reporting en matière de performance ESG. Elles prennent donc des engagements vis-à-vis de leurs clients, investisseurs, banques, personnel ou actionnaires. Pour remplir leur cahier des charges ESG, elles privilégient de plus en plus les fournisseurs (souvent de plus petite taille) qui adoptent des pratiques vertueuses et qui sont en mesure de les démontrer. Par ailleurs, les PME seront, elles aussi, soumises à la CSRD à partir de 2026.

La transition est donc devenue un must pour toutes les entreprises ?

Si vous voulez continuer à travailler avec des clients d’une certaine taille, par exemple dans la grande distribution, vous n’avez plus le choix. Une bonne performance ESG devient un facteur de compétitivité. Nous encourageons d’ailleurs toutes les PME à communiquer sur les efforts qu’elles font. Une politique crédible est une garantie de viabilité, car une entreprise vertueuse sera beaucoup mieux positionnée pour attirer les investisseurs ou obtenir de bonnes conditions de financement.

Comment la banque aide-t-elle les PME dans leur transition ?

Forts de l’expérience acquise avec les grandes entreprises, nous sommes prêts à les accompagner à chaque étape. Nous avons l’expertise, les partenaires, et les solutions, que nous rendons peu à peu accessibles aux entreprises de plus petite taille.

Nos chargés de relation peuvent compter sur un large réseau d’experts en interne. Ceux de notre Sustainable Business Competence Centre, par exemple, ou encore ceux du Low-Carbon Transition Group, un réseau de BNP Paribas qui regroupe 200 experts dans le monde pour accompagner nos clients vers le bas carbone.

Comment les accompagnez-vous, concrètement ?

Nos chargés de relations, en collaboration avec nos experts et nos partenaires externes, proposent à nos clients un véritable trajet. Reprenons notre exemple, celui du petit fournisseur du grand acteur de la distribution. Une fois qu’il a compris les risques et les opportunités liés à l’ESG, nous l’aidons à poser le diagnostic – sur quoi peut-il agir ? – et nous le conseillons sur les actions à entreprendre : rendre sa flotte de véhicules moins polluante, améliorer l’efficacité énergétique de ses bâtiments, produire lui-même une partie de son énergie, rendre ses processus de production plus circulaires, adapter sa gouvernance d’entreprise, parvenir à un meilleur équilibre hommes-femmes dans son équipe de management, etc.

Ensuite, nous envisageons ensemble les financements nécessaires pour mettre ces actions en œuvre et lui proposons les solutions les plus adaptées à la situation de l’entreprise, à sa taille et à son secteur. Nous avons développé une large gamme de produits dédiés à la transition, que nous proposons en propre ou via des partenaires.

Pouvez-vous donner quelques exemples ?

Nous proposons des crédits spécifiques, qui permettent de s’équiper en isolants, panneaux solaires, chaudières haute performance ou en véhicules électriques. Les grandes PME peuvent aussi accéder àune ligne de crédit (de minimum 10 millions d’euros) dont le taux d’intérêt est lié à l’atteinte d’objectifs ESG, laquelle est vérifiée par des experts indépendants. Nous avons ainsi financé un producteur de chaux en liant le taux de son crédit à la réduction de ses émissions de CO2 ou encore un gestionnaire de parking, en liant son taux aux émissions de particules fines. Nous mettons aussi en place des solutions de factoring liées à des engagements ESG, et par lesquelles nous finançons le payement des factures de PME de toutes tailles.

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08.03.2024

Les entreprises ont tout intérêt à opter pour l’électrique et la multimodalité

BNP Paribas Fortis est prêt pour la mobilité de demain. Et sa contribution va bien au-delà du leasing de véhicules électriques, avance Laurent Loncke, General Manager Retail Banking et membre du comité exécutif de la banque.

Comment les entreprises peuvent-elles faire de la mobilité l’un des leviers de leur transition ?

« Si on regarde la seule utilisation d’un véhicule, le passage du fuel à l’électrique permet de diviser par quatre les émissions de CO2. Ce changement est plus que jamais encouragé fiscalement dans notre pays. Et dès 2035, les ventes de voitures thermiques seront interdites dans toute l'Union européenne. Qu’il s’agisse de leur propre flotte ou des voitures de société qu’elles proposent à leur personnel, les entreprises ont donc tout intérêt à opter pour l’électrique. Et ce, à côté d’autres formes de mobilité. »

Toutes l’ont-elles bien compris ?

« Aujourd’hui, deux tiers des nouveaux véhicules sont des véhicules professionnels. Dans cette catégorie, 80% des commandes en cours portent sur des véhicules électriques. C’est aussi le cas chez notre partenaire Arval. » 

Une entreprise peut ainsi devenir actrice du changement ?

« Certainement. D’abord parce que les voitures de société alimentent le marché de l’occasion. Avec, à la clé, une démocratisation de la mobilité électrique. Ensuite parce que celui qui opte pour une voiture électrique encourage ses proches à faire de même. Comme l’a révélé notre récente étude Profacts, 85% des détenteurs d’un véhicule électrique sont satisfaits, voire très satisfaits, d’avoir franchi le pas. Mais 42% des Belges restent réticents. La moitié d’entre eux craignent la panne sèche électrique. »

Cette crainte est-elle justifiée ?

« Pas complètement. La plupart des automobilistes souhaitent une autonomie de 500 km pour se sentir à l’aise, même lorsqu’ils ne font que quelques dizaines de kilomètres par jour. Pour autant, développer le réseau de recharge reste absolument nécessaire. Car pour beaucoup, notamment en ville, l’installation d’une borne à domicile n’est pas possible. BNP Paribas Fortis contribue au développement du réseau de recharge, notamment via sa participation dans Optimile. En plus de proposer des solutions logicielles pour la recharge des véhicules électriques, cette scale-up gantoise développe des partenariats stratégiques pour l’installation et la maintenance de bornes. »

Une voiture électrique peut-elle être incluse dans le package de tout employé ?

« Aujourd’hui, des véhicules moins onéreux, accessibles aux cadres moyens et inférieurs, apparaissent sur le marché. De plus, un véhicule électrique doit s’analyser au regard de son coût total de possession (Total Cost of Ownership), bien inférieur à celui d’un véhicule thermique. Souvent, on aura tout intérêt à opter pour le leasing. Nous proposons une offre complète et sur mesure à toutes les entreprises, quels que soient leur taille et leurs besoins.»

Qu’entendez-vous par une « offre complète » ?

« Outre le leasing proprement dit, nous fournissons, grâce à nos nombreux partenaires, une solution de recharge à domicile ou au travail, une carte de recharge pour les réseaux publics, un remboursement automatique pour l’utilisation au domicile, une app pour trouver des bornes de recharge, et une formation à la conduite électrique. »

C’est, au fond, un véritable écosystème que vous développez…

« Nous voulons coconstruire la mobilité de demain. En la finançant, via le crédit ou le leasing, en l’assurant, mais aussi en agissant avec d’autres au-delà de nos métiers traditionnels. Comme avec Optimile, que j’ai déjà évoquée, et Touring, synonyme de garantie et de fiabilité. »

Mais la mobilité, ce n’est pas que la voiture…

« Nous sommes de ceux qui veulent repenser le rapport à la voiture. Au vu des objectifs climatiques et de la raréfaction des ressources, remplacer chaque voiture thermique par une voiture électrique est impossible. Arval procure une expertise complète aux entreprises engagées dans la transition. Nous les aidons à analyser les besoins, à définir des alternatives à la voiture, à mettre à disposition un budget mobilité, ou encore à mettre au point une mobility policy. Nous proposons par exemple le leasing vélo, en combinaison ou non avec le leasing de voitures. Nous croyons fermement à la multimodalité et aux solutions de mobility a as service, soit la possibilité de combiner et payer facilement plusieurs modes de transport. C’est d’ailleurs aussi l’une des spécialités de notre partenaire Optimile. »

Les entreprises et leurs employés sont-ils réceptifs à ce message ?

« L’idée qu’un employé ne se dise plus ‘j’ai autant pour ma voiture dans mon package salarial’, mais bien ‘j’ai autant pour ma mobilité’, fait son chemin. L’économie de l’usage plutôt que de la propriété s’est imposée pour le fitness ou le streaming. Elle s’imposera aussi pour la mobilité, avec des voitures partagées et des abonnements forfaitaires qui rendront les budgets plus prévisibles pour les entreprises comme pour les citoyens. Mais la rapidité de ce changement dépendra aussi du succès du budget mobilité fédéral, qui peine pour l’instant à décoller.»

BNP Paribas Fortis SA - Montagne du Parc 3 - B-1000 Bruxelles -TVA BE 0403.199.702 – RPM Bruxelles.

Optimile SA – Sassevaartstraat 46 bus 204, 9000 Gent – RPM Gent – TVA BE 0648.837.849 – www.optimile.eu - BNP Paribas Fortis SA détient une participation de plus de 10% dans Optimile SA.

Arval Belgium SA, Ikaroslaan 99, 1930 Zaventem – RPM Bruxelles – TVA BE 0436.781.102.

Touring SA – Bd Roi Albert II 4 B12, 1000 Bruxelles - RPM Bruxelles - BCE 0403.471.401, est enregistrée sous ce numéro auprès de la FSMA, rue du Congrès 12-14, 1000 Bruxelles, et agit comme agent lié, rémunéré à la commission, pour AG Insurance SA. AG Insurance SA détient une participation supérieure à 10% dans Touring SA.

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